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Le train de 06 h 41, départ Troyes, arrivée Paris. Bondé, comme tous les lundis matins. Cécile Duffaut, quarante-sept ans, revient d'un week-end épuisant chez ses parents. Elle a hâte de retrouver son mari, sa fille et sa situation de chef d'ent[...]texte imprimé
« Je suis né libre et j'ai vécu avec ma famille jusqu'au jour où deux hommes m'ont drogué, séquestré et vendu comme esclave. Pendant douze ans, j'ai connu la servitude et l'humiliation. Dormant à même le sol, affamé, fouetté, j'ai failli sombre[...]texte imprimé
Cinq hommes sont partis à la guerre, une femme attend le retour de deux d'entre eux. Reste à savoir s'ils vont revenir. Quand. Et dans quel état.texte imprimé
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Pierre Bordeaux était à Vichy en 1941. Qu'y faisait-il ? Agent double ou triple ? Rond de cuir pour un Maréchal au visage de cire ou espion dormant de la Résistance ? Une fresque à la fois terrifiante et comique du prix Fémina 1993.texte imprimé
L'Abistan, immense empire, tire son nom du prophète Abi, « délégué » de Yölah sur terre. Son système est fondé sur l'amnésie et la soumission au dieu unique. Toute pensée personnelle est bannie, un système de surveillance omniprésent permet de [...]texte imprimé
Résumé L'historien offre ses méditations en réponse au grandes craintes de l'humanité sur les risques de guerre nucléaire, de cataclysme écologique, de désordre technologique ou de menace terroriste. Il insiste sur la responsabilisation de [...]texte imprimé
249, faubourg Saint-Antoine est le livre d'une maison et d'une famille au temps où ce faubourg avait une âme, celle des gens du bois, des descendants de Boulle, de Riesener, de Jacob. Ces pages arrachées à un passé déjà bien estompé - le récit d[...]texte imprimé
Thomas Coraghessan BOYLE, Auteur ; Robert PEPIN, Traducteur ; Bernard LEPRETRE, Traducteur | Paris : B. Grasset | 2002Donne une conscience aiguë de la fragilité humaine : rire de ceux qui prétendent défier la mort, sympathiser avec d'autres qui voudraient jouer avec elle, ou suivre pas à pas l'agonie de ceux qui croient l'amour plus fort que la mort.texte imprimé
"La 25e heure" est l'effroyable histoire de Ioham Moritz.Paysan roumain décrété juif sur dénonciation, il est tour à tour enfermé dans un camp de travail, torturé par les Hongrois, vendu aux Allemands qui, après lui avoir fait subir les pires ig[...]texte imprimé
Le 31 août 1997, une Mercedes s'engageait en trombe sous le tunnel de l'Alma avant de heurter une Fiat Uno blanche, de zigzaguer et d'aller emboutir un pilier dans un abominable fracas de freins et de tôle froissée. Cet accident spectaculaire fi[...]texte imprimé
Quand la jeune Pat pousse la porte du 44 Scotland Street, elle espère bien prendre un nouveau départ. Entre son colocataire, un beau gosse insupportable et terriblement séduisant, et son excentrique voisine de palier, Domenica, la voilà entraîné[...]texte imprimé
Lorsque Grégoire Coblence, associé d'un luthier, découvre une ancienne partition dans la doublure d'un étui à violoncelle, il est persuadé qu'elle a été écrite par Domenico Scarlatti, l'illustre compositeur pour clavecin. Pourtant, le précieux [...]texte imprimé
Un divorce les avait séparés... ... le danger va les réunir Artiste bohème au tempérament de feu, Nikki fait irruption dans la vie sage et bien rangée de Sébastian. Tout les oppose, mais ils s'aiment passionnément. Bientôt, ils se marient et don[...]texte imprimé
Helene HANFF, Auteur ; Marie-Anne (de) KISCH, Traducteur ; Thomas SIMONNET, Auteur de la postface, du colophon, etc. | Paris : Autrement | Littératures | 20003 novembre 1949. "Les livres me sont bien parvenus, le Stevenson est tellement beau qu'il fait honte à mes étagères bricolées avec des caisses à oranges, j'ai presque peur de manipuler ces pages en vélin crème, lisse et épais. Moi qui ai toujour[...]texte imprimé
Octave est le maître du monde. Octave exerce en effet la profession lucrative de rédacteur publicitaire : il décide aujourd'hui ce que vous allez vouloir demain. Octave est un mort-vivant, couvert d'argent, de filles et de cocaïne. Un jour, il s[...]texte imprimé
Les abeilles grises Dans un petit village abandonné de la « zone grise », coincé entre armée ukrainienne et séparatistes prorusses, vivent deux laissés-pour-compte : Sergueitch et Pachka. Désormais seuls habitants de ce no man's land, ces en[...]texte imprimé
Printemps 1963. Sur la Grand-Place de Tilliers-en-Beauce, une Dauphine jaune se gare à l'ombre du monument aux morts. Ses passagers reviennent de loin. Abraham est médecin et il cherche du travail. Son fils Franz n'a pas dix ans et aucun souveni[...]texte imprimé
Avec un peu d’amour, on fait de grandes choses. En deux années, mes voisins ont transformé cette bâtisse vosgienne à l’abandon en refuge. Du haut de mon banc et de mon grand âge, je viens chaque jour guetter les changements. Les trois premiers l[...]texte imprimé
Marie se sent perdue. Son mari, ses enfants sont le dernier fil qui la relie à la vie. Ce fragile équilibre est bouleversé le jour où elle rencontre les « kosovars », ces réfugiés dont nul ne se soucie et qui errent, abandonnés, aux confins de [...]texte imprimé
Le premier vendredi de novembre, Claude Hartmann est parti, emmenant sa mère mourante, pour Venise. Ils ont vécu là ensemble dix jours. Puis, elle est morte...texte imprimé
Ólafur Jóhann OLAFSSON, Auteur ; Mimi PERRIN, Traducteur ; Isabelle PERRIN, Traducteur | Paris : Editions du Seuil | 1996L'Islandais Peter Peterson, émigré jeune aux États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale, arrive à l'automne de sa vie. Après deux mariages malheureux-ses enfants sont "la preuve vivante d'une erreur"-, il habite New York dans un luxueux appar[...]texte imprimé
Relation des extraordinaires voyages de Jean-Baptiste Poncet, ambassadeur du Négus auprès de Sa Majesté Louis XIV «Quelque chose, pourtant, lui disait qu'il pouvait réunir l'inconciliable, c'est-à-dire ne renoncer ni au désir qu'il avait de conn[...]texte imprimé
«Il attendait de rencontrer une femme qui lui donnerait forme humaine, c'est-à-dire divine. Il en avait assez de ne rien voir, de ne rien sentir, de ne rien comprendre et surtout de ne rien penser. Il fallait que quelqu'un l'ouvre en deux et le [...]texte imprimé
Quelle structure familiale avez-vous connue ? J'avais répondu : aucune. Gardez-vous une image forte de votre père et de votre mère ? J'avais répondu : nébuleuse. Vous jugez-vous comme un bon fils (ou fille) ? Je n'ai jamais été un fils. Dans les[...]