Détail de l'auteur
Auteur Philippe CLAUDEL |
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«Elle ressemblait ainsi à une très jeune princesse de conte, aux lèvres bleuies et aux paupières blanches. Ses cheveux se mêlaient aux herbes roussies par les matins de gel et ses petites mains s'étaient fermées sur du vide. Il faisait si froid [...]texte imprimé
Quatrième de couverture « Le dimanche qui suivit, différents signes annoncèrent que quelque chose allait se produire. Ce fut déjà et cela dès l'aube une chaleur oppressante, sans brise aucune. L'air semblait s'être solidifié autour de l'île, [...]texte imprimé
Aux frontières de l'Empire sommeille une province minérale où le rythme lent des grands hivers engourdit les habitants d'une petite ville ordinaire. Un matin, le Curé est découvert la tête fracassée à coups de pierres. Qui pouvait à ce point [...]texte imprimé
« Nous traversons des temps difficiles, vous n'êtes pas sans le savoir. Très difficiles. Qui pourrait prévoir ce que nous allons devenir, vous, moi, la planète... ? Rien n'est simple. Un peu d'eau ? Non ? Comme vous voulez. Après tout, si vous p[...]texte imprimé
Dans ces textes inattendus, sincères, vibrants, trois écrivains, trois pères, parlent pour la première fois de l'expérience incomparable de la paternité. Ils disent les aléas, la maladie, la peur. Ils disent l'angoisse de la mort, l'émerveilleme[...]texte imprimé
Vingt histoires, à dévorer, à murmurer, à partager Vingt manières de rire et de s'émouvoir Vingt prétextes pour penser à ce que l'on oublie et pour voir ce que l'on cache Vingt chemins pour aller du plus léger au plus sérieux, du plus grave au [...]texte imprimé
«En dressant l'inventaire des parfums qui nous émeuvent - ce que j'ai fait pour moi, ce que chacun peut faire pour lui-même -, on voyage librement dans une vie. Le bagage est léger. On respire et on se laisse aller. Le temps n'existe plus : car [...]texte imprimé
Monsieur Linh est un vieil homme. Il a quitté son village du Vietnam dévasté par la guerre, n'emportant avec lui qu'une valise contenant quelques vêtements usagés, une photo jaunie, une poignée de terre de son pays et avec un nouveau-né dans ses[...]texte imprimé
« Je m'appelle Brodeck et je n'y suis pour rien. Je tiens à le dire. Il faut que tout le monde le sache. Moi je n'ai rien fait, et lorsque j'ai su ce qui venait de se passer, j'aurais aimé ne jamais en parler, ligoter ma mémoire, la tenir bien [...]